L’humanité a célébré ce vendredi 7 Avril 2023, la journée mondiale de la santé. Une occasion pour le ministre guinéen de la santé et de l’Hygiène Publique de s’adresser au personnel de santé et à la population guinéenne en général.
Dans son allocution, le Dr Mamadou Péthé Diallo a rappelé la solennité de la célébration de cette journée, mais aussi les réformes engagées dans le secteur de la santé en faveur de l’amélioration de la qualité des soins.
Reconnaissance pour les acteurs de la santé
Le ministre a salué les efforts de tous les acteurs qui se battent nuit et jour pour améliorer la santé des populations guinéennes. « La célébration de la journée mondiale de la santé cette année coïncide au 75ème anniversaire de l’OMS, Organisation Mondiale de la Santé. Une institution qui, au cours des ¾ du siècle écoulé a accompagné l’humanité dans sa quête d’une meilleure santé pour toutes les populations. Notre pays est heureux de se joindre à cette célébration, parce que nous avons engrangé beaucoup de victoires dans notre lutte contre la maladie et la souffrance » a-t-il affirmé.
Dans son allocution, le Dr Péthé a également a mis l’accent sur les initiatives de son département appuyé par le gouvernement dans l’amélioration des conditions de prise en charge des cas de maladie, de promotion et de protection de la santé des citoyens guinéens. Une des actions phares du ministère de la santé est la rationalisation de la distribution des médicaments et des produits de santé. « Ce qui vise à protéger la santé de la population en réduisant et en éliminant la circulation des faux médicaments et autres produits de santé impropres à la consommation. Les investissements importants dans le domaine des infrastructures de santé. Investissement dont l’objectif affiché est de rapprocher les structures de santé de là, où vivent et travaillent les populations guinéennes » rappelle le Dr Péthé Diallo.
Capacités du personnel améliorés
Par ailleurs, le Dr Mamadou Péthé Diallo a profité de cette occasion pour saluer les efforts du personnel surtout ceux qui travaillent dans les zones reculées. Tout en rappelant que la santé est un droit et l’Etat a le devoir et l’obligation de pouvoir accorder à chaque citoyen, à la limite des ressources disponibles, la santé et le bien-être.
M’mah Bangoura
